Et ben...
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Et ben...
... c'est un peu mort ici...
Il est de ces moments où la vie vous tend la main, mais vous, vous restez scotché… vous n’êtes pas bien, vous pensez à autre chose… bref, vous marchez à côté de vos pompes… Tiens donc, voila une maxime que Tonton Barti n’a pas encore décomposé pour vous… qu’à cela ne tienne, il se rattrape... tout de suite.
Sujet du jour : « Marcher à côté de ses pompes ». En voila une belle expression qu’elle est belle. Et vous allez voir, elle vous sera bien plus limpide après lecture de ces quelques lignes. Certains pourraient croire que cet adage est née des premières chaussures à talon haut, avec lesquelles les dames se tordaient la cheville, ou bien encore de ces semelles à compensation inversé à turbine intracorollaire, invention tragique qui valu la mort à son concepteur (gode blesse ime), mais il n’en est rien. Cette expression est née il y a quelques années grâce à un couple du monde du spectacle, le célèbre chanteur René Marchais (1877-1949) et la célèbre cantatrice soprano Nathalie Dessay (1965). Ces deux là ne se sont pas connus, mais grâce à la technologie d’aujourd’hui, tous les couples sont permis (notez ce calembour plutôt réussit), et ce qui fut fait… fut bien fait. En effet, Nathalie Dessay, grande fan de son idole Marchais (qui est, au passage, l’inventeur du slam), demanda à une société de production de reprendre un des célèbres duos de René Marchais « Pousse toi d’là mon vieux que j’t’y vienne », et de remplacer la chanteuse de la version originale par elle-même.
La chanson fut un succès (dans le village natal de Nathalie Dessay), et un duo bien hétéroclite, car pendant que René Marchais racontait son histoire en slam, Nathalie ponctuait l’histoire par un air d’opéra pas piqué des vers, car nécessitant énormément d’oxygène (on l’entend d’ailleurs respirer comme un aspirateur durant tout le morceau).
Et à l’écoute de ce disque, il a été dit simplement « Marchais raconte et Dessay pompe », devenu au fil des années « Marcher à côté de ses pompes ». Le rapport entre cette expression est le fait d’être dans les vapes reste obscur (quoique, après avoir respiré comme un âne pendant 3 minutes, on a un peu mal à la tête, et on est un peu dans les vapes quand même), mais à force d’écouter la voix sage de Tonton Barti, n’a-t-on pas prit l’habitude de ne rien comprendre à l’évolution de la langue française ?
Bonsoiiiiiiiiiiir
Il est de ces moments où la vie vous tend la main, mais vous, vous restez scotché… vous n’êtes pas bien, vous pensez à autre chose… bref, vous marchez à côté de vos pompes… Tiens donc, voila une maxime que Tonton Barti n’a pas encore décomposé pour vous… qu’à cela ne tienne, il se rattrape... tout de suite.
Sujet du jour : « Marcher à côté de ses pompes ». En voila une belle expression qu’elle est belle. Et vous allez voir, elle vous sera bien plus limpide après lecture de ces quelques lignes. Certains pourraient croire que cet adage est née des premières chaussures à talon haut, avec lesquelles les dames se tordaient la cheville, ou bien encore de ces semelles à compensation inversé à turbine intracorollaire, invention tragique qui valu la mort à son concepteur (gode blesse ime), mais il n’en est rien. Cette expression est née il y a quelques années grâce à un couple du monde du spectacle, le célèbre chanteur René Marchais (1877-1949) et la célèbre cantatrice soprano Nathalie Dessay (1965). Ces deux là ne se sont pas connus, mais grâce à la technologie d’aujourd’hui, tous les couples sont permis (notez ce calembour plutôt réussit), et ce qui fut fait… fut bien fait. En effet, Nathalie Dessay, grande fan de son idole Marchais (qui est, au passage, l’inventeur du slam), demanda à une société de production de reprendre un des célèbres duos de René Marchais « Pousse toi d’là mon vieux que j’t’y vienne », et de remplacer la chanteuse de la version originale par elle-même.
La chanson fut un succès (dans le village natal de Nathalie Dessay), et un duo bien hétéroclite, car pendant que René Marchais racontait son histoire en slam, Nathalie ponctuait l’histoire par un air d’opéra pas piqué des vers, car nécessitant énormément d’oxygène (on l’entend d’ailleurs respirer comme un aspirateur durant tout le morceau).
Et à l’écoute de ce disque, il a été dit simplement « Marchais raconte et Dessay pompe », devenu au fil des années « Marcher à côté de ses pompes ». Le rapport entre cette expression est le fait d’être dans les vapes reste obscur (quoique, après avoir respiré comme un âne pendant 3 minutes, on a un peu mal à la tête, et on est un peu dans les vapes quand même), mais à force d’écouter la voix sage de Tonton Barti, n’a-t-on pas prit l’habitude de ne rien comprendre à l’évolution de la langue française ?
Bonsoiiiiiiiiiiir
Re: Et ben...
je connaissait pas cette expression je suis plus famillier avec les 2 pieds dans la même bottine, connait tu l'origine de cette expression par hazard?
Poisson- Charmeur de Pacotilles
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Re: Et ben...
Je vais me pencher dessus je vais plancher dessus, je vais y penser, mais pas je vais m'y plancher
Re: Et ben...
Tonton Barti à la sagesse du vocabulaire et de la grammaire infuse, donc je dis ce que je veux, ça passe !
Re: Et ben...
Chez moi on dit, avoir les deux pieds dans le même sabot.
Belle paraphrase en attendant.
Belle paraphrase en attendant.
serranis- Balbutieur d'Incantations
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Re: Et ben...
Après un MP de Jenny, j'ai décidé de sortir un expression que je ne pense pas avoir posté ! Si c'est vrai, bonne lecture, sinon... bonne redecouverture !
Expression du jour pleine de poésie : Avoir la taupe au guichet
En voila une expression fraiche et cocasse ! Mais d’où peut bien provenir cet adage, plein d’entrain et de bonne humeur ? C’est au sein d’une entreprise de boulon de 12 que débarqua cette maxime fort répandue désormais sur notre sol. En effet, l’entreprise faisait son rendez-vous annuel avec son Comité d’Entreprise pour donner les chiffres de l’année passée, et les directives de l’année suivante. Le directeur, après avoir donné quelques chiffres des plus alarmants sur l’état de la société, proposant d’étendre les produits de l’entreprise au boulon de 16. Stupeur et stupéfaction ! C’en était trop pour les délégués syndicaux, qui appelèrent à la grève de 2 mois reconductibles, prenant effet immédiatement. Ils sortirent de la salle de réunion, annoncèrent aux machinistes « Àààààààààààà la grèèèèèèèèèèèèèèèèève !!!!! », machinistes qui laissèrent là leurs machines-outils pour bloquer les portes de l’atelier, monter les barricades, et aller chercher le casse-dalle dans le casier de René.
Le directeur, médusé, s’adressant à son vice-PDG, lui dit tout simplement « Ah, voir un topo gâché comme ça… », et alla évacuer le trop plein d’émotion dans les plus proches toilettes.
« Ah, voir le topo gâché » est devenu « Avoir la taupe au guichet », et s’est répandu de par le vice-PDG après les 4 mois de grève de l’entreprise qui, pour info, commercialisa ses premiers boulons de 8 le mois suivant, selon les revendications des salariés.
Expression du jour pleine de poésie : Avoir la taupe au guichet
En voila une expression fraiche et cocasse ! Mais d’où peut bien provenir cet adage, plein d’entrain et de bonne humeur ? C’est au sein d’une entreprise de boulon de 12 que débarqua cette maxime fort répandue désormais sur notre sol. En effet, l’entreprise faisait son rendez-vous annuel avec son Comité d’Entreprise pour donner les chiffres de l’année passée, et les directives de l’année suivante. Le directeur, après avoir donné quelques chiffres des plus alarmants sur l’état de la société, proposant d’étendre les produits de l’entreprise au boulon de 16. Stupeur et stupéfaction ! C’en était trop pour les délégués syndicaux, qui appelèrent à la grève de 2 mois reconductibles, prenant effet immédiatement. Ils sortirent de la salle de réunion, annoncèrent aux machinistes « Àààààààààààà la grèèèèèèèèèèèèèèèèève !!!!! », machinistes qui laissèrent là leurs machines-outils pour bloquer les portes de l’atelier, monter les barricades, et aller chercher le casse-dalle dans le casier de René.
Le directeur, médusé, s’adressant à son vice-PDG, lui dit tout simplement « Ah, voir un topo gâché comme ça… », et alla évacuer le trop plein d’émotion dans les plus proches toilettes.
« Ah, voir le topo gâché » est devenu « Avoir la taupe au guichet », et s’est répandu de par le vice-PDG après les 4 mois de grève de l’entreprise qui, pour info, commercialisa ses premiers boulons de 8 le mois suivant, selon les revendications des salariés.
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